lundi 22 janvier 2018

Entretiens avec Lucie, troisième partie

Entretiens avec Lucie
Troisième partie
« Will et Lizzie »

 Lucie, qui a déjà répondu à nos questions sur les circonstances de sa découverte de la fessée lors d’un séjour en Angleterre, puis celles de sa rencontre avec celui qui allait devenir son mari, poursuit ses confidences, un peu dans le désordre chronologique.



Will et Lizzie

Lucie, lors de notre dernier entretien, vous avez cité les noms d’ autre couple anglais qui savent pour vous, et qui, je suppose, « pratiquent » eux aussi. J’aimerais que vous nous en disiez plus sur ces couples.
Je vais commencer par le couple dont nous sommes restés le plus proche, celui de Will et Lizzie.
Après notre nuit de noces nous sommes partis vers Hendaye pour notre voyage de noces dans la maison de famille de Thomas, nous nous sommes arrêtés à Royan chez Henry et Mary qui du fait que Henry s’était cassé la jambe n’avait pas pu venir au mariage. Nous avons passé la soirée avec eux et un couple William et Elisabeth . Il avait 35 et 36 ans, lui travaillant au consulat de Grande Bretagne et elle ne travaillant pas mais œuvrant dans des organismes caritatifs. Nous avons tout de suite accroché avec eux plus qu’avec Henry et Mary surement, comme le dit Thomas, si le coup de foudre entre deux couple existe, nous l'avons eu. La raison, ils sont de notre âge et en plus nous avions d’autres points communs, il aime la pèche et le golf comme Thomas et elle aime le tennis comme moi. Ils se connaissaient car Mary et Lizzie étaient allées toutes les deux à Princess Ann Collège pas en même temps car il y avait 14 ans d’écart entre elle. Nous avons discuté toute la soirée et Mary m’a demandé si le lendemain nous pourrions emmener Will et Lizzie à la gare de Royan pour qu’ils prennent leur train pour Bordeaux. Thomas qui avait entendu leur a proposé de les prendre en voiture jusqu’à Bordeaux puisque c’était notre route, ce qu’ils ont accepté.
Nous sommes partis par la route du Blayais plus sympa que l’autoroute.

Les souvenirs de Lizzie

Nous avons discuté de chose puis j’ai demandé à Elisabeth :
- Lizzie, excuse moi de cette question mais pendant les 15 jours que j’ai passé au collège, j’ai entendu plusieurs réflexions, si Lizzie était la elle ferait attention, du temps de Lizzie, elles n’auraient osé faire ça. C’est sur qu’avec Lizzie, elle se serait retrouvé à cheval immédiatement…. (je l’ai vu rougir)
- Oui elle parlaient bien de moi, j’ai été l’assistante de Miss Clark pendant un an et demi.
- Tu veux dire que…
- Oui c’est moi qui punissait aussi les filles dans le bureau des punitions ou au dortoir.
(Will a tourné la tête)
- Tu as l’air intéressée, aurais tu fait du cheval pendant ton passage au collège ?
- Non, mais j’ai assisté enfin deux élèves sont allées dans le couloir
- Pour recevoir 6 coups de tawse ?
- Oui c’est ça et une a été fessée en classe sous le bras de la professeure mais sans baisser la culotte.
- Oui c’est normal vous étiez en year 13, il n’y avait que les year 7,8 et 9 qui sont fessée fesses nues en classe. Donc pas de punitions pour toi
- J’ai vu le cheval le dernier jour, nous rangions et Ann m’a fait visiter le bureau des punitions et m’a donné une petite fessée sur le cheval mais c’était juste pour s’amuser.
- C’est sur que si tu étais passé par les mains de Lizzie, tu ne te serais pas amusé, raconte leur comment cela se passait, j’ai l’impression que Lucie n’attends que ça, par contre Thomas il faut bien regarder la route.
Dit Thomas en rigolant.
- Tu veux ?
Demanda Lizzi, à quoi je répondis sans hésiter :
- Oui bien sur.
- Allons y. Je vais commencer par le début mais je tiens à préciser qu’en 7 ans je n’ai été punie que 9 fois. Il ne faut pas croire que l’on était punie tout le temps. La première punition à laquelle j’ai assisté, c’est le jour de ma première rentrée. Cela faisait une heure que nous étions en classe quand une élève a ri bruyamment, la professeur l’a fait venir au tableau, s’est assise, l’a basculée sur ses genoux, les fesses vers la classe, la déculottée immédiatement, lui a donné une bonne fessée et l’a renvoyée à sa place, je peux vous promettre que nous avons toutes étaient calmes pendant plusieurs jours
- Lizzie, je suis sur que Lucie voudrait que tu lui parle de tes punitions
- Oui j’y arrive. Ma première punition cette année là c’est dans le couloir que j’ai reçu 6 coups comme tout le monde mains contre mur, penchée, jambes écartées et culotte baissée. Miss Clark y allait de bon cœur. Après il fallait retourner en classe, prendre une contenance, s’asseoir et reprendre le cours et surtout ne pas se faire punir car sinon c’était la visite de 18 heure dans le bureau des punitions.
- Tu n’as jamais été fessée en classe ?
- Non, enfin si mais laisse moi raconter - Les punitions suivantes ont été dans le couloir. Je n’ai reçu ma première punition dans le bureau des punitions qu’en year 9, j’avais 14 ans et j’avais répondu un peu sèchement à ma professeur d’histoire. Nous étions 4 élèves à être punies. Une year 7, moi une year 10 et une year 12. Nous attendions dans le couloir, la petite de 11 ans pleurait déjà, elle est rentrée la première et a reçu une fessée, on l’entendait crier, cela n’était pas rassurant. J’y suis allée ensuite. C’était la première fois que je rentrais dans cette pièce. Il y avait un bureau une table et le cheval, en fait un cheval d’arçon modifié puisque la partie en cuir était penché vers le bas. Quand on était dessus on avait les fesses en l’air et la tête en bas, il y avait 2 menottes en cuir de 15cms pour pas que cela nous blesse. Pour monter dessus il y avait un cube en bois. Une représentante des 7 niveaux était présente ainsi que les professeurs qui avaient demandé la punition, Miss Clark et son assistante Jane qui était en year 13. Douze personne allaient assister à ma punition, enfin 13 car la petite qui pleurait en se massant les fesses était là, la jupe et la culotte à ses pieds.
« - Mademoiselle Elisabeth, vous avez été incorrecte avec miss Simpson, votre professeur d’histoire, veuillez présenter vos excuses »
« - Miss je vous prie de bien vouloir m’excuser, cela ne se reproduira pas » (j’ai fait une petite révérence)
- « J’espère bien, c’est la première fois que vous venez ici, vous allez recevoir 12 coups de tawse après une fessée de préparation. Jane veuillez vous en occuper »
-  » Viens ( Elle m’a fait mettre les mains sur la tète, a dégrafé ma jupe et m’a fait monter sur le petit cube, penchée en avant mis les menottes puis a enlever le cube, j’avais les pieds qui ne touchaient plus le sol, elle m’a enlevée ma culotte puis est montée sur le cube et m’a fessée. Des claques pas trop forte mais j’ai senti mes fesses chauffer). Miss, elle est prête (Miss Clark s’est mise sur le coté et le premier coup est tombé)
- Aiiiiie
« - Miss Elisabeth, j’attends mieux de vous rappelez vous notre devise, Egalité, Discrétion et dignité ( les coups suivants sont tombés régulièrement, je serrais les poings au point de m’en faire mal, je me mordais la lèvre mais plus un mot n’est sorti de ma bouche). Jane vous pouvez la détacher. « 
- Je suis descendu du cheval, mes fesses me faisait un mal de chien, même à la maison je n’avais jamais reçu une punition comme celle-là et ce n’était pas fini car j’ai du me mettre à coté de la petite sans pouvoir me rhabiller, mains sur la tête et toutes les spectateurs voyaient ma toison qui a 14 ans était bien fournie à coté de la petite pratiquement encore lisse. Les deux autres sont venue, la première a reçu 6 coups de tawse et 6 coups de cane, c’est la première fois que voyais quelqu’un en recevoir, j’en ai eu des frissons, elle est venue nous rejoindre et ce fut le tour de la dernière qui avait 18 ans et a reçu 18 coups de tawse. Quand nous avons été toutes les 4 alignées, “ les spectatrices“ sont sorties, Miss Clark nous a fait un sermon et nous sommes rhabillées et nous sommes sorties. Je peux te dire que quand tu sors du bureau tu n’as pas envie d’y revenir.
- Je veux bien te croire…..
- En fait j’ai reçu 4 punitions dans le couloir, une fessée et deux punitions dans la salle des punitions
- Ben ça ne fait que 7 punitions
- Les deux autres, c’est un peu particulier, on verra ensuite. Après cette punition, je me suis très bien conduite et je n’ai pas été punie pendant deux ans mis à part deux fois dans le couloir. J’ai donc reçu la suivante au début de l’année year 12, j’avais 17ans. Je me suis disputée avec une élève de ma classe, un petit crêpage de chignon vous dites en France, nous avons toutes les deux été envoyées chez Miss Clark. Je n’en menais pas large et nous avons eu le droit un sermon sur notre attitude indigne d’une futur lady après quoi Miss Clark m’a dit de la suivre et l’autre élève devait revenir à 18 heures. Miss Clark, m’a dit que j’étais une bonne élève et qu’elle ne comprenait pas mon attitude, qu’elle savait que j’avais été provoquée mais que ma réaction était elle d’une gamine. Nous avons traversé les couloirs et nous sommes arrivées au Gymnase, elle m’a dit d’attendre, qu’il fallait qu'elle voit la professeur de gymnastique. Le cours s’est arrêté. Elle lui a parlé puis m’a fait signe de venir. Je me suis approchée, Miss Heurley a pris mon poignet
- Mesdemoiselles, Elisabeth qui est en year 12 se comporte comme vous dans la cour de récréation et se bat avec ses camarades. C’est une honte déjà pour vous mais elle qui va rentrer à l’université dans deux ans…….. Puisque vous vous comportez comme ces gamines je vais vous traiter comme elles (Là l’horreur, j’ai compris immédiatement ce qu’elle voulait faire)
- Non Miss je vous en pris j’ai 17 ans
- On ne le dirait pas Cathy ma chaise
- Je vous en prie
- Arrêtez sinon je vous fais tenir par deux élèves (j’ai compris que cela ne servait à rien de résister. Elle m’a couché sur ses genoux les fesses vers la classe. Il y a eu des murmures des filles en arc de cercle autours de nous. Murmures qu’elle a fait taire. Elle a remonté ma jupe. Je me retrouvais en petite culotte exposée à leur regard, j'étais honteuse et très humiliée alors que cela n’avait pas commencé. La première claque tomba puis une autre, Elle tapait par série, s’arrêtait dix secondes et recommençait ce qui était encore plus dur à supporter car on attend et on ne sait pas quand elle va recommencer puis elle accéléra et les claques furent bien plus violentes et surtout certaines tombaient sur les endroits de mon derrière où il n'y avait pas de culotte. Je commençais à remuer les jambes pour éviter les coups, mais la
pression de sa main gauche sur ma taille se fit plus intense. Elle s’arrêta. Je sentis qu’elle dégrafait ma jupe et demanda à une élève de me la retirer
- Non Miss please
- Taisez vous (d’un coup elle baissa ma culotte) elles sont bien rouges mais ce n’est rien. (Mes fesses étaient brulantes, j’avais bien reçu quelques fessée par mes parents, mais jamais aussi fortes. Elle tapait partout, mes fesses étaient un immense brasier, je pleurais et même au bout d’un moment je sanglotais à chaudes larmes, j’étais redevenu la petite fille de dix ans qui était punie. Mes fesses….c’était horrible, elle frappait de plus en plus fort. Le crépitement des claques résonnait dans le gymnase, je me mis à penser et si quelqu’un venait. elle continua méthodiquement d'une fesse à l'autre s'assurant de couvrir au complet mon derrière. Je pleurais. J'avais du mal à supporter chacune des claques espérant toujours que ce serait la dernière. N'en pouvant plus je me débattais mais c'était inutile, elle me tenait solidement) Arrêtez de gigoter comme cela vous montrez à ces gamines des choses que vous devriez cacher (Je ne pouvais pas, du coup des claques tombaient sur mes cuisses. Enfin elle s’arrêta, me releva, je frottais mes fesses mais elle me dit de mettre mes mains sur la tête, j’étais à moitié nue devant ces filles, elle me fit rester une dizaine de minutes ainsi avant de me permettre de me rhabiller de d’aller voir Miss Clark. Je suis remonté la voir dans son bureau
- Alors Elisabeth, j’espère que vous avez compris la leçon
- Ho ! oui miss
- Savez-vous pourquoi j’ai fait cela
- Parce ce que je me suis battu
- Oui mais si je vous ai fait punir par Miss Hurley, d’abord pour vous montrer ce que c’est qu’une fessée humiliante et aussi parce que c’est la meilleure fesseuse du collège. Montrez-moi vos fesses
- Ho Miss !!!
- Vous voulez un supplément (je me suis tournée et lui ai montrée) Qu’elle magnifique couleur, je pense que vous allez vous en souvenir surtout qu’à l’heure actuelle tout le collège doit savoir qu’une grande a été fessée cul nu devant toute une classe de petites
- Ho Miss taisez vous j’ai tellement honte
- Elisabeth, vous êtes une très bonne élève, une de nos meilleurs élèves, je connais votre mère, je sais que ce WE vous allez certainement recevoir une autre fessée quand votre mère saura pourquoi vous avez été fessée devant les petites. Je sais aussi qu’il vous arrive de fesser vos sœurs ou votre frère à la demande de vos parents car vous êtes l’ainée
- Oui c’est exacte, mais êtes vous obligé de faire un mot à mes parents
- D’après vous
- Oui Miss Clark, c’est normal
- Vous me plaisez de plus en plus et je pense à vous comme assistante pour l’année prochaine puisque Jane partira à l’université.
- Moi Miss ?
- Oui et je pense que vous serez une très bonne assistante
- Allez retournez en cours mais passez vous rafraichir avant.
- Vous ne me donnez pas le mot
- Quel mot (avec un grand sourire)
- Ben dis donc, elle ne t’a pas raté, enfin tu n’as pas été fessée par ta mère
- Non heureusement, Juste vous raconter cela j’avais l’impression que mes fesses chauffaient

L’assistante

- Et tu es vraiment devenu sont assistante ?
- Oui mais plus tôt que prévu car un mois plus tard aux vacances de noël, Jane s’est cassé le bras droit et Miss Clark m’a demandé d’être son assistante pour la fin de l’année scolaire
- Tu n’as plus été punie du coup
- Non le fait d’être son assistance créait des jalousies, il fallait que je sois prudente.
Nous en étions là quand nous sommes arrivés sur Bordeaux, ils nous ont proposé de manger avec eux. Avec Lizzie nous sommes allées acheter du pain et quand nous sommes rentrées chez eux, Thomas m’a fait venir dans le salon
- Will m’a proposé de nous prêter leur maison au bord de la plage à Hourtin, il m’a dit que comme ça tu pourrais discuter avec Lizzie car vous avez encore beaucoup de choses à vous raconter. Moi je suis sur qu’en plus tu n’attends qu’une seule chose c’est de te faire fesser par Lizzie, j’ai bien vu ta tête dans le rétroviseur quand elle racontait ses histoire, d’ailleurs je suis sur…( il a avancé sa main et m’a passé sous ma jupe ) je m’en doutais, tu mériterais que je te donne une fessée ou….que je demande à Lizzie de t'en donner, c’est ce que je pensais ne me donne pas ta réponse je te connais si bien, alors que faisons nous ?
- Tu me connais si bien mon amour mais cela ne te dérange pas, de toute façon il faut que nous soyons le 18 à Hendaye car les enfants et mes parents arrivent, cela nous fait 10 jours ici. J’ai peur qu’on les dérange, on va les voir



- Thomas vient de me dire que Will lui a proposé de nous prêter votre maison de Hourtin, si tu es d’accord Lizzie, nous voulons bien mais comme Will va travailler, tu restes avec nous
- Je ne veux pas vous déranger, des jeunes mariés….
- Tu ne nous dérange pas bien au contraire et puis je pense que Lucie a encore beaucoup de souvenir à échanger avec toi
- Allez on mange et on y va.
Ils ont une belle maison en bord de plage, enfin à l’époque parce qu’aujourd’hui, la maison est bien entourée mais à l’époque la maison la plus proche était à plus de 200 mètres. 3 chambres, un grand salon et une belle terrasse avec un jacuzzi et un hammam.
Installés, nous nous sommes mis sur la terrasse et Lizzie a repris son récit.
- Trois jours après ma nomination officielle, mais attention ce n’était pas une sinécure car cela ne me dispensait pas de mes cours, mes devoirs ect…, c’était du travail en plus, surveiller l’étude, les dortoirs. Je ne pouvais pas. entrer chez moi tous les WE car il y avait des élèves qui restaient au collège. Par contre je pouvais mettre des culottes autres que noires et porter des bas avec un porte jarretelle. Enfin dés le lendemain j’ai eu mes premières punitions et trois jours plus tard, il n’y avait qu’une punie et Miss Clark m’avait annoncé “ que c’était à moi de décider de la punition“. J’ai tout de suite compris que c’était un test surtout quand j’ai vu qui était la punie. C’étais Sarah, ma meilleure amie, nous avons toujours été dans la même classe et je peux bien le dire puisque Will est au courant, il nous arrivais de nous retrouver la nuit même si c’était formellement interdit
- Tu veux dire que vous…..
- Non on faisait du tricot ! elle avait des mains tellement douce et une langue mais bon revenons à sa punition. Je venais de lire son nom et je sentais les yeux de miss Clark dans mon dos, elle était punie pour ne pas avoir par deux fois rendu un devoir dans les temps.
- Alors Lizzie (Miss Clark à partir de ce moment là m’a appelé Lizzie comme tout le monde, même mes professeurs)
- Elle est bête car je sais que ce devoir, il est fait donc je pense que la punition n’a pas besoin d’être dur mais qu’il faut qu’elle s’en souviennepour le prochain devoir
- Votre résonnement est intéressant
- Vous m’avez dit que quand se conduit comme une gamine on doit être punie comme une gamine
- Oui comme je l’ai fait avec vous
- Je pense qu’une fessée à son âge sera plus productive que la tawse ou la cane.
- Faite là entrer……..
- Sarah c’est Miss Elisabeth qui va vous punir pour ne pas voir rendu votre devoir
- Ho Lizzie tu ….
- Sarah à qui parlez-vous ?
- Excusez moi, Miss Elisabeth je
- Taisez vous et venez ici (je l’ai basculé sur mes genoux)
- Non pas la fessée j’ai 17 ans je vous en prie, nooon ma jupe….ma culotte ho non j’ai trop honte
- Je ne veux plus vous entendre sinon je prends la cane (Je lui ai donné sa fessée, ma première fessée. Je ne me suis arrêtée que quand elle a commencé à pleurer. )
- Relevez-vous Sarah et rhabillez-vous, je vous préviens si vous oubliez encore une fois, Miss Elisabeth vous refessera mais en classe devant vos camarades, c’est bien compris
- Oui miss
- Vous pouvez repartir en étude
- Bien Lizzie, c’était une belle fessée, je pense que j’ai fait un bon choix.
- Après cela, j’ai punie avec elle tout le reste de l’année et ma dernière année au collège.
- Et toi tu devais nous parlé de tes deux autres punitions
- Oui, avant il faut que je vous explique que tous les trimestres le comité nous rendait visite, c’était les représentants des donateurs car comme toutes les écoles privées, elles ne vivaient que des dons. Le président était un Lord, nous l’appelions Sir Edouard, il y avait un autre homme et trois femmes, ils avaient tous entre 60 et 80ans. Quand ils venaient, ils faisaient le tour du collège, vérifiait les comptes et assistaient aux punitions. Ce jour là, il y avait sept punies. A la fin tout le monde est sorti sauf Sir Edouard.
- Miss Clark, félicitations, les punitions ont été données dans le respect des règles, ceci s’adresse aussi à vous Miss Elisabeth. Une petite question, pourriez vous regarder dans le livre des punies, combien en aviez vous hier ?
- Deux Sir
- Et avant-hier
- Une
- Et le jour d’avant
- Deux
- Bien (il a sorti un petit agenda) et le…d’avril
- Six
- Le……de janvier
- huit
- La veille
- Nous n’avions pas de punie, cela arrive heureusement
- Oui, oui bien sur, aujourd’hui qui a demandé les punitions
- Trois l’on été par des professeurs et quatre par Miss Elisabeth
- Rien ne vous choque Miss Clark
- Heeeu non
- Moi si, c’est que les deux dates que je vous ai données coïncident avec nos visite, donc quand nous ne sommes pas là vous avez entre aucune punie et trois punies et quand nous venons entre six et huit, au niveau probabilité, ce n’est pas logique. Miss Elisabeth, à voir la couleur de votre figure, je crois que vous avez compris ce que je veux dire.
- Oui Sir je pense…. je reconnais que quand vous venez je suis plus sévère que les autres jours, je reconnais que…….
- C’est inadmissible, dans notre devise, n’y a-t-il pas le mot Egalité
- Si ….
- Je suis déçu Miss Clark que vous ne vous en soyez pas aperçue, Miss Elisabeth pourquoi faire cela
- Je suis désolée, je pensais que les membres du comité voulaient….Je vous promets que cela ne se reproduira plus ……et si vous pensez que je mérite d’être punie je le comprendrais (mais pourquoi ai-je dis cela, je suis folle)
- Je pense Miss Elisabeth que c’est en effet une bonne idée. Je sais que vous êtes une très bonne élève et qu’en six ans vous n’êtes venue ici qu’une fois en tant que punie, je ne me trompe pas
- Non Sir Edouard
- Je ne vous ferais donc pas monter sur le cheval néanmoins je vais vous punir sur cette table, veuillez vous préparer, vous connaissez la procédure, Miss Clark, veuillez me donner la tawse (J’ai passé mes mains sous ma jupe et enlevé ma culotte, j’ai défait mes bas et enlevé mon porte jarretelle) La jupe également
- Ho ! Sir
- Vous allez me faire regretter ma mansuétude (j’ai donc enlevé ma jupe et me suis penchée sur le table) Miss Clark, veuillez tenir ses mains que je puisse officier tranquillement. (Je serais les dents, le premier coup arriva et je poussais un grand cri)
Mademoiselle, je vois que notre devise n’a aucun intérêt pour vous, Egalité, vous ne respectez pas, Dignité, vous n’en avez pas beaucoup
- Désolée Sir, cela ne se reproduira pas (Il me donna cinq coups tout aussi violents, entre chaque coup j’avais beaucoup de ma à reprendre ma respiration)
- Bien, Miss Clark, la cane, j’avais l’intention de vous en donner douze coups mais je pense que six of the best suffiront et vous comptez
- Oui Sir Edouard (je sanglotais tellement mes fesses me faisait mal, jamais je n’avais eu aussi mal et il restait les six coups de cane
- Êtes-vous prête ?
- Oui Sir Edouard (Heureusement que Miss Clark tenait mes poignets)
- Slack !!!!! J’en ai eu le souffle coupé
- One Thank you Sir
- Slack !!!!!
- Two Thank you Sir
- Mes fesses me brûlaient je pensais même qu’elles saignaient, jamais avant ni depuis je n’ai ressenti cela, les quatre autres coups tombèrent aussi forts, Miss Clark m’a relâchait les mains et je me suis relevée doucement en tenant mes fesses, je n’arrivais pas à parler. C’est Miss Clark qui m’a remis mon porte jarretelle, mes bas et m’a dit de me mettre mains sur la tête.
- Tu veux dire que Sir Edouard voyait ton intimité
- Mis à part mon père, le docteur et mon petit frère mais lui ça ne compte pas, c’était le troisième homme à me voir nue mais honnêtement, c’était le cadet de mes soucis, la seule chose qui comptait c’était mes fesses
- Je pense miss Elisabeth que vous avez compris la leçon et que maintenant vous appliquerez la devise de notre école
- Oui Sir Edouard
- Sir Edouard
- Oui Miss Clark
- Je pense que je suis aussi responsable que mademoiselle Elisabeth et …..
- Je le pense aussi
- Elisabeth vous pouvez sortir
- Non je pense qu’il est préférable qu’elle reste aussi bien pour vous que pour elle, la leçon lui sera profitable. D’ailleurs, la logique veut que la punition soit la même. Judith (quelle surprise pour moi, il l’appelait par son prénom) vous êtes d’accord
- Oui Sir Edouard
- Elisabeth avez-vous déjà assisté à une punition de professeur
- Oui Sir
- Alors préparez Judith
- Sir je pense pouvoir me préparer seule
- Bien alors faites le (Elle a enlevé sa jupe, son porte jarretelle ses bas, a pris le bord de sa culotte) Que faites vous Judith vous êtes professeur vous avez le priv…
- Sir, vous avez dit la même punition (elle a baissé sa culotte nous faisant découvrir sa toison blonde à travers de laquelle on distinguait sa fente puis elle s’est penchée sur la table) Lizzie mes mains (J’ai serré ses poignets)
- Sir Edouard lui a donné la même punition que moi six coups de tawse et six coups de cane, la différence est que mis à part pour compter, pas un son n’est sorti de sa bouche mais des larmes coulaient de ses yeux. Quand il a terminé, elle s’est retournée, a essuyé ses yeux puis s’est rhabillée.
- Je vous laisse, le comité m’attend, personne ne saura ce qui vient de se passer, je dois avouer que le jour où je vous ai choisi Judith pour ce poste je ne me suis pas trompé et en choisissant Miss Elisabeth, vous avez fait le bon choix, néanmoins, il serait logique que vous la puissiez pour ce qui vient de se passer mais pas aujourd’hui.(il a quitté la salle)
- Lizzie, dépêchez vous de mettre votre jupe, ne mettez pas votre culotte vous ne la supporteriez pas, je n’ai pas mis la mienne ? la cloche du diner va sonner allons à l’entrée du réfectoire.
- Le Diner a été très dur assises sur une chaise en bois mais impossible d’y échapper. A la fin de celui-ci, les élèves avaient une heure et demie soit pour aller finir leur devoirs ou aller à la bibliothèque. A 21 heures 30 tout le monde devait aller au dortoir avec extinction des feux à 22 heures.
- Ca rigolait pas et après tu as encore été punie pour cette histoire
- Lucie laisse là raconter, va y Lizzie continue, la journée n’était pas finie
- Will non !!!
- Lizzie, tu dois tout raconter
- J’ai peur qu’ils soient choqués
- Hum je sens que ça va être intéressant

Après les fessées ...

- Thomas ne te moque pas. Bon alors après le repas Miss Clark m’a demandé si j’avais des devoirs à faire, je lui ai dit que j’étais à jour, elle m’a dit de la suivre. Elle m’a emmené dans son appartement, c’était la première fois que j’y allais.
- Comment vont tes fesses
- J’ai très très mal, ça va être très dur demain en plus j’ai un contrôle
- Enlève ta jupe
- Ma jupe
- Oui ta jupe, tes bas ton porte jarretelle et allonge toi sur le ventre
- Mais….
- Fais ce que je te dis (j’ai obéis, elle est revenue avec un petit pot à la main) Ca va être un peu froid il était dans le frigidaire.
- Elle m’a mis de la pommade sur les fesses, c’était froid mais agréable. Plus elle passait sa main sur mes fesses plus je sentais une douce torpeur m’envahir. Avec ses pouces elle partait de mes cuisses et remontait, de temps en temps l’un de ses ongle effleurait ma fente, puis les caresses se firent plus précises, je poussais des petits soupirs, je lui disais que ce n’étais pas bien mais sans conviction.
- Si tu veux je peux arrêter
- Non non mis Clark continuez
- Appelle moi Judith mais uniquement quand nous sommes seules
- Oui MI..Judith continue c'est si bon c’est si bon
- Aussi bon qu’avec Sarah
- Ho mais
- Je sais très bien ce que tu fais avec elle mais ne t’inquiète pas.
- C’est meilleur
- Maintenant ses caresses remontaient le long de ma fente et atteignaient mon petit bouton, elle me fit retourner délicatement et continua puis me demanda si avec Sarah nous ne servions que de nos mains, de la tête je fis non alors elle continua avec la langue mais là encore entre Sarah et elle il n’y avait aucune comparaison.
- Tu es vraiment une petite cochonne mais je m’en doutais, ha tu es encore vierge, c’est bien et de plus en plus rare
- Je l’entendais comme dans un rêve, elle m’a fait jouir puis elle m’a demandé de lui rendre la pareil ce que j’ai fait. Pendant les neuf mois suivant je me suis rendu plusieurs fois dans son appartement sans que Sarah ne le sache.
- En fait vous êtes deux petites cochonnes, heureusement que Sir Edouard ne l’a pas su
- Oui tout à fait
- Donc tu n’as jamais eu ta punition
- Si quelques jours après la fin de l’année scolaire, je suis passée au collège pour prendre des papiers pour l’université, je l’ai rencontré par hasard, elle m’a dit qu’elle voulait me montrer quelque chose. Elle m’a fait rentrer dans le bureau des punitions, a fermé la porte à clef, m’a prise par le poignet
- Tu n’as pas oublié quelque chose
- Quoi
- Que tu m’a fais punir, je te dois quelque chose
- Ho non s’il te plait (elle m’a mise sur ses genoux, je me suis laissé faire a remonté ma jupe, baissé ma culotte et m’a donné une fessée mais pas pour rire, une vraie) Voila maintenant on est quitte. Je me suis relevée, rhabillée et nous nous sommes embrassée
- Judith de quelle droit avez-vous fessée une personne ne faisant plus partie du collège, ce n’est pas possible, venez ici
- Mais……. (je l’ai couché sur mes genoux)
- IL n’y a pas de mais, quand je pense que cela fait surement des années que toutes les élèves de ce collèges rêvent en secret le soir dans leur lit en se caressant d’allonger la redoutable Miss Clark sur leurs genoux, de relever cette jupe noire, de baisser cette culotte verte et de découvrir ces belles petites fesses, mais oui elle ont la chaire de poule, elles ont raison, ce n’est pas la peine de les serrer Judith car je vais les faire danser. Oui elles rêvent toutes de cela et c’est moi Lizzie qui vais avoir ce privilège.
Je lui appliquais une bonne claque sur la fesse droite puis une sur la gauche, les claques tombaient régulièrement, J’y allais de bon cœur, en plus j’étais sur que c’est ce qu’elle attendait car elle ne faisait rien pour se défendre Ma main continuait son œuvre, le bureau était envahi du crépitement des claques sur la peau rougissante des fesses de Judith, maintenant je tapais de toutes mes forces. Sous la rapide et chaude averse, elle se tortillait, comme une gamine, gémissant, ses fesses si laiteuses de blonde avait maintenant une couleur rubiconde, une belle couleur de tomate écrasée. Elle lançait ses jambes en arrière et quelques claques atterrissaient sur ses cuisses ou sa fente, lui faisant pousser quelques cris, je finis en lui donnant une dizaine de claques très fortes. Je la relevais, la prenais dans mes bras.
- Ma chérie merci, moi aussi j’ai rêvé qu’un jour une élève fasse cela. Que ça soit toi me ravit encore plus et crois moi tu l’as très bien fait j’ai les fesses en feu mais pas que ça.
- Elle m’a fait mettre a genou devant elle et j’ai léché sa fente jusqu’à la jouissance, voila j’ai fini
- Tu ne l’as jamais revu









Rencontres d’anciennes

- Bien sur que si, à la fête des anciennes du collège qui a lieu tous les ans le samedi suivant le 26 juillet de façon à ce qu’un maximum puisse venir, nous sommes entre 100 à 200 à venir. Elle a 57 ans est toujours chargé de la discipline mais il n’y a plus de punitions sauf ce jour là
- Elle doit trouver la vie bien morne
- Non pas du tout ca ne te dirait d’assister à une de nos fêtes
- Si j’y ai le droit, ce serait fantastique, je voudrais bien la revoir même si je ne l’ai pas connu aussi bien que toi
- J’y vais à la fin du mois, je demanderais pourquoi pas l’année prochaine
- Oui, ça ne te dérangerais pas Thomas
- Pas du tout, dis donc Will et toi c’étais pareil
- Pratiquement pour les year 7 et 8 il t avait aussi la fessée en classe et les autres punitions par contre après le slip était mis comme pour les professeures de Lizzie, on ramenait le slip vers la raie des fesses et on le tirait vers le haut car sinon quand on se relevait cela aurait été gênant car beaucoup comment dites vous en France oui ils bandaient.
- Et tu as été puni
- Plus souvent que Lizzie, moi la dernière fois c’était à l’université, en rentrant un soir, j’avais uriné sur le parterre de fleur de l’université et le conseil des ancien a décidé que c’était une conduite inappropriée pour un gentleman et j’ai reçu 6 coups de cane sur mon pantalon mais ça fait mal.

Le mariage de Will et Lizzie

- Si ce n’est pas indiscret comment vous vous êtes connus?
- Dans le train, nous faisions nos étude moi à Cambridge et elle à Londres. Nous rentrions pour les vacances d’étéNous nous sommes retrouvés dans le même compartiment d’un train, arrivant vers minuit. Elle s’est endormie sur mon épaule. Arrivés, j’ai proposé de la raccompagner. Pour me remercier, elle m’a proposé de boire un verre, j’ai accepté. Nous sommes sortis plusieurs fois pendant les vacances et nous nous sommes revus sur Londres tout au long de l’année scolaire suivante. Un soir pendant les vacances l’année suivante. Nous étions dans la maison de mes parents, seuls, allongés sur le lit. Je précise que nous n'en étions qu'aux caresses car Lizzie voulait rester vierge. Nous écoutions de la musique, elle était sur le ventre et ma main remontait le long de ses jambes. J’ai mis ma main sur ses reins
- Ma petite Lizzie, je voudrais te dire que …..(j’ai remontais sa jupe et baissais sa culotte)
- Mais que fais-tu ? Arrête…Will..
- Je te montre (j’ai claqué ses fesses juste pour qu’elles prennent un peu de couleur et de chaleur) je te montre ce qui arrivera quand nous serons mariés et que tu ne seras pas sage
- Quoi ?
- C’est pourtant simple j’ai l’intention de te fesser comme toute bonne épouse anglaise que cela te plaise ou non, je pense que je ferais aussi l’acquisition d’une tawse et vraiment si tu n’es pas sage d’une cane.
- Williams, est ce que ce serait une demande en mariage, parce que si c’est ça, il n’est pas question que je me marie avec un homme qui ne sait pas fesser (et là il m’a donné une bonne fessée, croyez moi, mes fesses étaient écarlates et brulantes) arrête je suis d’accord je veux bien t’épouser (et nous nous sommes embrassés mais nous ne sommes pas allés plus loin)
- Voila comment Will m’a demandé en mariage
- C’est vraiment original, il a tenu sa promesse
- Ho oui sans problème
- Mary nous a raconté ta première fessée avec Thomas, j’aurais bien voulu être à ta place
- Bon les filles si nous voulons manger
Nous sommes partis au restaurant.
A suivre………


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